Dans un contexte professionnel où les bureaux deviennent une “résidence secondaire” pour de nombreux travailleurs, l’importance d’une bonne qualité de l’air intérieur prend de l’ampleur.
En effet, les environnements de travail fermés, tels que les bureaux et les open spaces, peuvent être le théâtre d’une pollution de l’air intérieur nuisible à la santé des employés et à leur productivité.
C’est dans ce contexte que la notion de QVCT (Qualité de Vie et des Conditions de Travail) a émergé comme une préoccupation majeure, notamment avec l’obligation légale pour les employeurs de contrôler la qualité de l’air dans les locaux où séjournent les salariés, selon le Code du travail.
Optimiser sa #QAI : quels sont les intérêts ?
Les entreprises soucieuses du bien-être et de la performance de leurs collaborateurs ont tout intérêt à s’interroger sur leur QAI !
En priorisant la qualité de l’air dans leurs espaces de travail, les entreprises peuvent espérer une augmentation de la productivité, une amélioration générale du bien-être, et une réduction des effets néfastes de la pollution de l’air sur la santé, tels que la fatigue, les maux de tête et les difficultés de concentration.
Cette démarche s’inscrit ainsi dans une logique gagnant-gagnant, où le confort et la santé des collaborateurs se traduisent par une meilleure performance globale de l’entreprise.
D’après l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), l’air intérieur serait jusqu’à 8 fois plus pollué que l’air extérieur.
Plus encore, les salariés d’un open-space sont exposés à plusieurs polluants différents :
– Les COV (Composés Organiques Volatils) : qui sont émis par le mobilier, les fournitures de bureau, les objets de décoration, les imprimantes et photocopieuses (sources d’hydrocarbures)
– Les virus et divers microbes qui se propagent à l’air libre entre les collaborateurs
– La concentration de CO2 dans des pièces
– L’utilisation quotidienne de produits d’entretien (type javellisant) par les équipes de nettoyage qui sont une source de particules chimiques irritantes.
Plusieurs solutions : les méthodes Puroxus !
Le monitoring, ou comment surveiller la QAI dans les open-spaces ?
Une des premières interrogations à se poser en matière de QAI est : comment savoir si mon air est réellement pollué ?
L’une des principales solutions est l’installation de capteurs directement dans les bureaux et d’analyser les résultats.
Ces dispositifs doivent être en mesure de calculer le taux de CO2, la présence de COV et de particules fines (sous forme de PM).
Par la suite, et selon les résultats, il peut être judicieux de se tourner vers des traitements curatifs ou préventifs pour améliorer sa qualité de vie au travail… Par l’air !
L’assainissement régulier par décontamination ClO2
Parmi nos champs d’expertise, nous réalisons des assainissements trimestriels au sein de différentes compagnies à l’aide d’un fumigateur. La décontamination est un traitement curatif qui agit en profondeur contre les virus, les bactéries, les moisissures et les allergènes.
Il permet d’agir sur les textiles, les surfaces, les systèmes de refroidissement (climatiseurs, ventilateurs) et les plantes sans danger.
L’actif utilisé par nos équipes est le dioxyde de chlore, un oxydant sous forme de gaz qui agit efficacement en tant qu’agent désinfectant.
Les purificateurs d’air : un traitement continu ?
L’épuration de l’air par des dispositifs certifiés et professionnels sont une solution viable pour entretenir sa QAI dans les bureaux. Grâce à un traitement continu et un entretien régulier des filtres, les polluants vont s’encapsuler sur le long-terme dans les filtres des purificateurs et assurer une baisse significative de polluants (COV, micro-organismes, bactéries, allergènes, particules fines).
Il est capital de se renseigner sur les purificateurs d’air réellement efficaces et agréés selon les normes européennes, afin de ne pas risquer une dégradation de l’air intérieur.
Chez Puroxus Air & Water Solutions, nous vous conseillons et mettons à votre disposition des purificateurs d’air professionnels fiables, appuyés par des centres de recherches et en accord avec les normes européennes les plus récentes.